« Comme la grande alchimiste du goût, Helen parcourt ses champs, saisissant ici et là une fleur, un brin d’herbe, un trèfle, une carotte… les mettre à la bouche et saisir ainsi, entre primeur et maturité, le meilleur moment de la récolte. «
» Ce qu’Helen raconte à travers ses légumes, c’est la racine du monde – d’ailleurs ses légumes se mangent de la racine – là où le gôut commence – jusqu’aux fânes – là où le soleil les nourrit – pour exprimer ainsi l’équilibre parfait entre douceur et amertume »
Merci Valerie pour ces mots que j’aime beaucoup.
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